la comédie humaine
il y a N. elle, c'est la gentille. C'est celle qu'on aime toujours bien, c'est celle qui aime rigoler, qui pose souvent des questions et parle beaucoup. C'est celle qui est un peu candide quelques fois. elle prône la nourriture naturelle.
il y a A. elle, c'est celle qui dit pas grand chose en fait. Elle est gentille, on l'aime toujours bien. elle est un peu djeunz desfois mais pas trop.
il y a B. lui, c'est un peu le play-boy. Celui qui enchaîne les copines et limite souvent ses sujets de conversations. Mais il est chouette quand même, parce qu'il aime rire, parce qu'il est gentil, et parce qu'il est play boy qu'en apparence en fait.
il y a Q. lui, c'est le type qui parle pas trop et qui est toujours le nez rivés sur les jeux de sa calculatrice. Il parle pas trop, desfois il fait mine de nous trouver ridicules, et desfois il fait pire.
il y a M. lui c'est le type intelligent, qui raconte beaucoup de blagues pas forcément drôles, qui est gentil voire trop. il a des principes pour de vrai.
c'est quelqu'un d'intègre. on dirait que rien ne le touche. c'est le namoureux de C.
et puis il y a C. elle, c'est la namoureuse de M. en fait j'ai un peu de mal à la cerner. c'est celle qui ne parle pas trop, du moins pas toujours, qui est un peu sérieuse semble-t'il, et qui s'habille toujours tout en couleurs. surtout ça.
et chacun a son rôle précis
et tout le monde évite toujours de changer son texte ou de donner un morceau de lui dans son rôle.
c'est plus simple comme ça.
Pas de surprises, pas de changement.
Tout est ordonné, bien rangé.
chaque chose à sa place.
parce que quand quelqu'un fait des écarts, tout le monde est déstabilisé. Ca se fait pas. Alors on essaie une fois, deux fois... et puis on laisse tomber.
mais quelquefois C., en rentrant chez elle, elle griffonne quelques lignes sur une feuille-à-petits-carreaux-tout-ce-qu'il-y-a-de-plus-impersonnel dans le bus. et puis une fois chez elle, elle écoute la quête et amsterdam de Brel en faisant couler la cire brulante d'une bougie à la pomme verte sur son bras. elle ne pleure pas.
Ensuite, elle met le nouveau Sondre Lerche et elle recommence à errer.
Comme si de rien n'était.
il y a A. elle, c'est celle qui dit pas grand chose en fait. Elle est gentille, on l'aime toujours bien. elle est un peu djeunz desfois mais pas trop.
il y a B. lui, c'est un peu le play-boy. Celui qui enchaîne les copines et limite souvent ses sujets de conversations. Mais il est chouette quand même, parce qu'il aime rire, parce qu'il est gentil, et parce qu'il est play boy qu'en apparence en fait.
il y a Q. lui, c'est le type qui parle pas trop et qui est toujours le nez rivés sur les jeux de sa calculatrice. Il parle pas trop, desfois il fait mine de nous trouver ridicules, et desfois il fait pire.
il y a M. lui c'est le type intelligent, qui raconte beaucoup de blagues pas forcément drôles, qui est gentil voire trop. il a des principes pour de vrai.
c'est quelqu'un d'intègre. on dirait que rien ne le touche. c'est le namoureux de C.
et puis il y a C. elle, c'est la namoureuse de M. en fait j'ai un peu de mal à la cerner. c'est celle qui ne parle pas trop, du moins pas toujours, qui est un peu sérieuse semble-t'il, et qui s'habille toujours tout en couleurs. surtout ça.
et chacun a son rôle précis
et tout le monde évite toujours de changer son texte ou de donner un morceau de lui dans son rôle.
c'est plus simple comme ça.
Pas de surprises, pas de changement.
Tout est ordonné, bien rangé.
chaque chose à sa place.
parce que quand quelqu'un fait des écarts, tout le monde est déstabilisé. Ca se fait pas. Alors on essaie une fois, deux fois... et puis on laisse tomber.
mais quelquefois C., en rentrant chez elle, elle griffonne quelques lignes sur une feuille-à-petits-carreaux-tout-ce-qu'il-y-a-de-plus-impersonnel dans le bus. et puis une fois chez elle, elle écoute la quête et amsterdam de Brel en faisant couler la cire brulante d'une bougie à la pomme verte sur son bras. elle ne pleure pas.
Ensuite, elle met le nouveau Sondre Lerche et elle recommence à errer.
Comme si de rien n'était.
scrogneugné par ac-col-ade, le Mardi 23 Mars 2004, 18:38 parce qu'elle pam palam.
devenir révolutionnaire apolitique vous aussi
Les revendications :
Re:
parler de gens, comme ça, avec juste des premières lettres de prénom, ça donne l'impression qu'on est over-populaiiiiiire-annnh
Médire
an-droid
(et puis tu verras, y'a bcp de monde qui tapent "la comédie humaine" sur google)